Bibliothèque de Stéphane Galland

Table :
La Tour sombre : les petites sœurs d'Elurie (Stephen King)
Les Annales du Disque-monde : La mer et les petits poissons (Terry Pratchett)
L'Épée de vérité : Dette posthume (Terry Goodkind)
Les Chroniques d'Alvin le faiseur : L'homme-au-grand-sourire (Orson Scott Card)
Les Chroniques de Majipoor : Le septième sanctuaire (Robert Silverberg)
Terremer: Libellule (Ursula K. Le Guin)
L'Arcane des épées : L'homme en flammes (Tad Williams)
Un chant de glace et de feu : Le chevalier errant (George R. R. Martin)
Les Chroniques de Pern : Messagère de Pern (Anne Mc Caffrey)
La Guerre de la Brèche : Le garçon du bois (Raymond E. Feist)
L'Invasion des ténèbres : Renouveau (Robert Jordan)

Plus qu'aucun genre de la littérature populaire, la fantasy est sans doute l'héritière la plus proche des grands récits anciens, qui, de L'Épopée de Gilgamesh aux Chevaliers de la table ronde, en passant par Homère, ont su offrir la vision d'un monde imaginaire suffisamment puissante pour qu'il en devienne réel. Depuis quelques années, un certain nombre d'écrivains ont su à leur tour inventer des univers riches et complexes, développés au travers de longs cycles que chaque épisode enrichit et approfondit. Mondes chevaleresques imaginaires, monde plat hilarant, entre-deux mondes proches de notre réalité ou lointaines planètes colonisées par les humains, dans lesquelles on croisera le plus souvent quelques magiciens ou dragons, châteaux obscurs, épées magiques, loups-garous, elfes et autres lutins. Comme il l'a fait avec la science-fiction (Horizons lointains), Robert Silverberg offre à onze des plus grands noms de la fantasy l'occasion d'écrire une nouvelle inédite rattachée à leur cycle : un épisode dans la quête de Roland de Gilead, le dernier Pistolero (La Tour sombre de Stephen King), une aventure de l'inénarrable sorcière Mémé Ciredutemps (Les annales du disque-monde de Terry Pratchett), la fin du règne de Valentin, (Les Chroniques de Majipoor de Robert Silverberg), ou d'autres histoires issus de Terremer d'Ursula K. Le Guin, des Chroniques d'Alvin le faiseur d'Orson Scott Card et de quelques autres réussites du genre. Un modèle d'anthologie. --George Louhans

Table :
La Tour sombre : les petites sœurs d'Elurie (Stephen King)
Les Annales du Disque-monde : La mer et les petits poissons (Terry Pratchett)
L'Épée de vérité : Dette posthume (Terry Goodkind)
Les Chroniques d'Alvin le faiseur : L'homme-au-grand-sourire (Orson Scott Card)
Les Chroniques de Majipoor : Le septième sanctuaire (Robert Silverberg)
Terremer: Libellule (Ursula K. Le Guin)
L'Arcane des épées : L'homme en flammes (Tad Williams)
Un chant de glace et de feu : Le chevalier errant (George R. R. Martin)
Les Chroniques de Pern : Messagère de Pern (Anne Mc Caffrey)
La Guerre de la Brèche : Le garçon du bois (Raymond E. Feist)
L'Invasion des ténèbres : Renouveau (Robert Jordan)

Étranger sur la terre, étranger à lui-même, Meursault le bien nommé pose les questions qui deviendront un leitmotiv dans l'oeuvre de Camus. De La Peste à La Chute, mais aussi dans ses pièces et dans ses essais, celui qui allait devenir Prix Nobel de littérature en 1957 ne cessera de s'interroger sur le sens de l'existence. Sa mort violente en 1960 contribua quelque peu à rendre mythique ce maître à penser de toute une génération. --Karla Manuele

Cette édition du théâtre complet de Molière nous donne l'occasion de replonger dans les textes et de goûter encore le sel des comédies, la truculence des farces et la grandeur de ses pièces les plus noires, comme Tartuffe, Le Misanthrope ou Dom Juan. Au théâtre complet s'ajoutent enfin quelques poésies de circonstance, composées le plus souvent pour le roi, qui achèvent avec pertinence ce vaste panorama moliéresque. Une édition indispensable pour tous les amoureux du théâtre. --Karla Manuele

On ne peut s'empêcher d'être ému, révolté ou parfois effrayé devant toutes les épreuves qu'il doit supporter. Mais petit à petit, au fil des chapitres, on s'attache à ce petit garçon renfermé, secret, qui cache au fond de lui-même une tendresse et un coeur énormes et, par-dessus tout, une immense envie d'être aimé.

Un grand classique de la littérature enfantine au style riche, illustrant le thème des enfances difficiles. --Xavier Marciniak

Mais alors qu'est-ce qui différencie les humains des androïdes ? Peut-être cette capacité à utiliser la "boite à empathie", qui les plonge dans le corps perpétuellement meurtri de Wilbur Mercer. Mercer qui pourrait bien s'avérer être un usurpateur...

Adapté au cinéma par Ridley Scott, Blade Runner est un des chefs-d'œuvre de Philip K. Dick (Ubik, Le Dieu venu du centaure). Loin d'être héroïque, la mission du héros (qui tient plus de l'antihéros) le pousse petit à petit vers le désespoir. Encore une fois les frontières de la réalité sont floues et la question de l'identité plus que jamais inquiétante. --Georges Louhans

Alastair Reynolds imagine des personnages délirants, tel Calvin, simulation numérique sadique et paranoïaque ; et des artefacts saisissants, tel le gigantesque vaisseau spatial "Spleen de l'infini", pourvu d'un armement terrifiant, d'un triumvirat brutal et d'un capitaine victime d'une contamination proliférante…

Tout au long du roman, le suspense est haletant. Quel mystère dissimule la disparition des extraterrestres Amarantins ? Pourquoi Sylveste, le seul humain à avoir survécu à sa rencontre avec un "voile de l'espace", cache-t-il certaines informations ? Et d'où vient cette étrange Demoiselle, qui a chargé une tueuse à gages d'assassiner Sylveste ? Avec L'Espace de la révélation, Reynolds nous offre un opéra de l'espace exceptionnel de maîtrise et d'intelligence, aux visions grandioses, où le temps et l'espace prennent des dimensions cosmiques… --Stéphane Nicot

Très bel ouvrage où le mystère se mêle à la réalité quotidienne, où l'on peut sentir à chaque page le parfum si particulier de la Provence, cette oeuvre est envoûtante par la magie qui se dégage de chaque description, d'une richesse incroyable. Le vocabulaire très fourni, lié au champ thématique de la rivière, donnera l'occasion d'une véritable leçon de choses, et l'on se plaira à suivre les aventures du jeune Pascalet et de Gatzo dans cette si belle nature. --Xavier Marciniak

Un jour, le chat se fait écraser. Creed décide de l'enterrer avant que les enfants ne découvrent le désastre, et demande de l'aide à Jud. Pendant qu'ils enterrent le chat, le vieil homme lui raconte à demi-mots une légende qui court sur ce cimetière.

Puis le chat revient. Vivant. Mais pas tout à fait le même. Et c'est alors qu'un nouveau drame surgit.

Simetierre est sans aucun doute le livre le plus terrifiant que King ait jamais écrit, et c'est, dans ce sens, son livre le plus réussi. Parfaitement insupportable, c'est un roman en forme de cauchemar absolu. --Lisa B.

On retrouve avec bonheur la petite tribu de papier, dont Daniel Pennac développe à plaisir les personnages. Les intrigues et les destins se croisent au fil d'un récit dont la trame policière offre prétexte à s'attarder sur l'atmosphère du quartier, à épingler les méchants, les sans scrupules, les pas humains, toujours sur le mode de l'humour léger. Un délice qui a fait l'objet d'une sympathique adaptation télévisée en 1988, réalisée par Yves Boisset avec Tom Novembre. --Bruno Ménard

Mais voilà qu'au hasard de sa route, Tenaka croise le chemin d'anciens amis : Ananaïs le Guerrier doré, Decado le Tueur glacé, et de surprenants inconnus : Renya l'Uni mi-femme mi-animal, Païen le guerrier du lointain Sud. Il comprend alors que le but de sa mission n'est plus simplement la mort de Ceska mais la fin de son règne de terreur et de sang. Dans cette lutte désespérée, c'est la Source qui insuffle sa force et son courage à l'homme de bien. C'est sans doute à sa source, dans ses origines, que Tenaka trouvera l'espoir et la force.

Avec ce nouveau roman, Gemmel réitère l'extraordinaire tour de force de Légende. À partir d'un thème assez classique, il nous livre ici, grâce à la simplicité de son style, à son souffle épique et à son humour, un nouveau chef-d'œuvre de fantasy. --Laurent Schneitter

La rencontre de ces deux héros de l'Histoire, passée et à venir, à Dros Delnoch, forteresse mythique jamais tombée, va bouleverser la vie et la destinée de milliers d'hommes.

Dans ce roman de fantasy aux thèmes classiques, Gemmell accomplit un magnifique exercice de style qui nous empêche de le refermer avant la dernière page. Avec son écriture simple et fluide qui avait déjà fait notre bonheur dans la fresque fantastique antique du Lion de Macédoine, il nous emmène dans les méandres d'un siège dont l'issue est des plus certaines mais tellement réussie ! --Laurent Schneitter

Tant de questions qui ne sont qu'une infime partie du mystère féerique qui, depuis 1954, ravit l'imagination, autorisée pour un temps à s'attarder dans un séjour magique aux forêts profondes et ancestrales, aux paysages argentés peuplés d'êtres aériens, de jeunes guerrières intrépides, de destriers sauvages ayant la fierté de leurs maîtres, de viles créatures dont la laideur physique reflète la méchanceté... Tous, nous avons rêvé de ce repos de l'âme, de même que nous avons craint, enfants, la menace sourde et inexplicable. Tolkien, lui, a su nommer cet univers, et en faire une épopée passionnante, quête initiatique où l'errance humaine est regardée avec une tolérance rassurante.

Mais quels sont ces petits êtres rigolos et surprenants, ces "hobbits" ? D'où viennent ces accents folkloriques, ce langage essentiel, cette mélancolie onirique qui teinte l'esprit d'un brouillard étrange une fois le volume refermé ?

Tant de questions auxquelles, heureusement, Tolkien ne répond jamais tout à fait malgré les cartes, généalogies, lexiques et autres appendices passionnants que son imagination prolifique a fournis sur La Terre du Milieu. --Sana Tang-Léopold Wauters

Tant de questions qui ne sont qu'une infime partie du mystère féerique qui, depuis 1954, ravit l'imagination, autorisée pour un temps à s'attarder dans un séjour magique aux forêts profondes et ancestrales, aux paysages argentés peuplés d'êtres aériens, de jeunes guerrières intrépides, de destriers sauvages ayant la fierté de leurs maîtres, de viles créatures dont la laideur physique reflète la méchanceté... Tous, nous avons rêvé de ce repos de l'âme, de même que nous avons craint, enfants, la menace sourde et inexplicable. Tolkien, lui, a su nommer cet univers, et en faire une épopée passionnante, quête initiatique où l'errance humaine est regardée avec une tolérance rassurante.

Mais quels sont ces petits êtres rigolos et surprenants, ces "hobbits" ? D'où viennent ces accents folkloriques, ce langage essentiel, cette mélancolie onirique qui teinte l'esprit d'un brouillard étrange une fois le volume refermé ?

Tant de questions auxquelles, heureusement, Tolkien ne répond jamais tout à fait malgré les cartes, généalogies, lexiques et autres appendices passionnants que son imagination prolifique a fournis sur La Terre du Milieu. --Sana Tang-Léopold Wauters

Tant de questions qui ne sont qu'une infime partie du mystère féerique qui, depuis 1954, ravit l'imagination, autorisée pour un temps à s'attarder dans un séjour magique aux forêts profondes et ancestrales, aux paysages argentés peuplés d'êtres aériens, de jeunes guerrières intrépides, de destriers sauvages ayant la fierté de leurs maîtres, de viles créatures dont la laideur physique reflète la méchanceté... Tous, nous avons rêvé de ce repos de l'âme, de même que nous avons craint, enfants, la menace sourde et inexplicable. Tolkien, lui, a su nommer cet univers, et en faire une épopée passionnante, quête initiatique où l'errance humaine est regardée avec une tolérance rassurante.

Mais quels sont ces petits êtres rigolos et surprenants, ces "hobbits" ? D'où viennent ces accents folkloriques, ce langage essentiel, cette mélancolie onirique qui teinte l'esprit d'un brouillard étrange une fois le volume refermé ?

Tant de questions auxquelles, heureusement, Tolkien ne répond jamais tout à fait malgré les cartes, généalogies, lexiques et autres appendices passionnants que son imagination prolifique a fournis sur La Terre du Milieu. --Sana Tang-Léopold Wauters

Renouant avec la tradition des feuilletonistes, Stephen King, le prolifique auteur de fantastique, propose un récit troublant, initialement en six volumes, entre roman noir et conte de fées, dont a été tiré un film, La Ligne verte, avec Tom Hanks. --Lisa B.

Renouant avec la tradition des feuilletonistes, Stephen King, le prolifique auteur de fantastique, propose un récit troublant, initialement en six volumes, entre roman noir et conte de fées, dont a été tiré un film, La Ligne verte, avec Tom Hanks. --Lisa B.

Renouant avec la tradition des feuilletonistes, Stephen King, le prolifique auteur de fantastique, propose un récit troublant, initialement en six volumes, entre roman noir et conte de fées, dont a été tiré un film, La Ligne verte, avec Tom Hanks. --Lisa B.

Renouant avec la tradition des feuilletonistes, Stephen King, le prolifique auteur de fantastique, propose un récit troublant, initialement en six volumes, entre roman noir et conte de fées, dont a été tiré un film, La Ligne verte, avec Tom Hanks. --Lisa B.

Renouant avec la tradition des feuilletonistes, Stephen King, le prolifique auteur de fantastique, propose un récit troublant, initialement en six volumes, entre roman noir et conte de fées, dont a été tiré un film, La Ligne verte, avec Tom Hanks. --Lisa B.

Renouant avec la tradition des feuilletonistes, Stephen King, le prolifique auteur de fantastique, propose un récit troublant, initialement en six volumes, entre roman noir et conte de fées, dont a été tiré un film, La Ligne verte, avec Tom Hanks. --Lisa B.

Stu, Frannie, Nick et d'autres voient le monde mourir autour d'eux, puis des rêves étranges les conduisent vers la mère Abigail, sorte d'ange gardien du temple du bien. Ce n'est qu'une fois réunis que les survivants comprendront que l'horreur est loin d'être terminée, et que le plus dur reste à faire.

L'une des œuvres les plus complètes et les plus ambitieuses de King, Le Fléau reprend le thème universel de la lutte entre le bien et le mal. Histoire fantastique, certes, Le Fléau pose également des questions qui préoccupent l'homme depuis l'aube des temps. Sans forcément y apporter de réponse. Un roman dense, un vrai chef-d'œuvre du genre. --Lisa B.

Stu, Frannie, Nick et d'autres voient le monde mourir autour d'eux, puis des rêves étranges les conduisent vers la mère Abigail, sorte d'ange gardien du temple du bien. Ce n'est qu'une fois réunis que les survivants comprendront que l'horreur est loin d'être terminée, et que le plus dur reste à faire.

L'une des œuvres les plus complètes et les plus ambitieuses de King, Le Fléau reprend le thème universel de la lutte entre le bien et le mal. Histoire fantastique, certes, Le Fléau pose également des questions qui préoccupent l'homme depuis l'aube des temps. Sans forcément y apporter de réponse. Un roman dense, un vrai chef-d'œuvre du genre. --Lisa B.

Stu, Frannie, Nick et d'autres voient le monde mourir autour d'eux, puis des rêves étranges les conduisent vers la mère Abigail, sorte d'ange gardien du temple du bien. Ce n'est qu'une fois réunis que les survivants comprendront que l'horreur est loin d'être terminée, et que le plus dur reste à faire.

L'une des œuvres les plus complètes et les plus ambitieuses de King, Le Fléau reprend le thème universel de la lutte entre le bien et le mal. Histoire fantastique, certes, Le Fléau pose également des questions qui préoccupent l'homme depuis l'aube des temps. Sans forcément y apporter de réponse. Un roman dense, un vrai chef-d'œuvre du genre. --Lisa B.

Raymond E. Feist signe avec les chroniques de Krondor une oeuvre jubilatoire et rafraîchissante, magnifique aventure qui, dans le coeur des fans d'Heroic Fantasy, est en passe de rejoindre le rang de monument. Même si Les Chroniques de Krondor sont, semble-t-il, closes, nombreux sont les royaumes et les histoires qui couvent sous la plume de Raymond E. Feist. --Laurent Schneitter

Couronné du prestigieux prix Locus (catégorie Fantasy) en 1997, Le Trône de fer, premier volume d'une trilogie, est un récit superbe. George Martin, un auteur qui sait prendre ses distances avec les clichés du genre, inscrit une réussite majeure à une œuvre déjà riche. --Stéphane Nicot